Dans le dossier des attaques chimiques d'août 2013 en Syrie, la Chambre de l'instruction a repris l'argumentation des parties civiles, représentées par Clémence Witt et Jeanne Sulzer, et confirmé la légalité du mandat d'arrêt visant Bachar el-Assad.
Dans le dossier des attaques chimiques d'août 2013 en Syrie, la Chambre de l'instruction a repris l'argumentation des parties civiles, représentées par Clémence Witt et Jeanne Sulzer, et confirmé la légalité du mandat d'arrêt visant Bachar el-Assad.